Updated on février 5, 2009
Réflexions sur la création des mondes
Dans la cinquième chronique de mon ange perdu, il parle de la formation des mondes et en fait de la création de l’univers. bien sûr, mon ange est inventé et il est peut-être un peu le genre d’ange que je serais car moi j’aimerais être un ange créateur de galaxies et de vie. Des fois je vois des des photos de galaxies qui s’étirent ou roulent en spirales, des milliers de points de lumière qui, amalgamés finissent par colorer la partie du cosmos qu’ils occupent C’est de toute splendeur et cela fait rêver et cela m’oblige à réfléchir sur le sens de tout cela.
Quand on y pense vraiment, l’univers est né dans une grande explosion le Big Bang, explosion monumentale qui a simplement permis la libération des particules (protons, neutrons, électrons et peut-être d’autres je ne suis pas spécialiste), particules qui sont les briques de tous les éléments qui forment les atomes et les molécules de la matière.
Quand je regarde une telle dépense pour aboutir aux particules élémentaires de la matière, on ne parle pas encore de la vie ni de la conscience, je ne peux qu’imaginer combien la vie et après la conscience qui semblent bien être contenues dans ce déploiement de l’univers sont des éléments importants et pour lesquels jusqu’à l’aboutissement aucun effort ou dépense n’ont étés ménagés.
Il y a combien d’univers tel que le nôtre, combien de galaxies dans le ciel étoilé, des milliers des millions, je ne sais pas. Mais c’est beaucoup plus que je ne peux imaginer et même compter. Et dans tous ces ciels combien d’essais et de réussites pour aboutir à la vie et à la conscience et partout quel prix.
Voila ce qui me scie et qui me fait dire que la vie et la conscience sont des choses tellement importantes que l’on y consacre allègrement toute l’énergie d’un BIG BANG.
J’aurais aimé créer des univers mais plus simplement, je ne serais sans doute contentée de créer des fleurs et je leur aurais ajouté le chant. Des fleurs chantantes, juste pour la joie et pour l’enthousiasme. Si un matin au lever du soleil, vous avez déjà entendu chanter les oiseaux, vous savez de quoi je parle