Updated on août 1, 2020
La fin déjà d’un été si court…
Ce matin, au lever un petit 10 degrés. Durant ma marche un gros vent en bourrasques et le froid qui s’infiltre dans mon gros gilet. Je me dis qu’à la prochaine occasion je sors mon manteau d’hiver. Il faut ce qu’il faut. Je préfère marcher et je ne tiens pas à geler.
Du bon côté des choses, il fait gros soleil et à l’abri il est encore capable de me réchauffer et marcher sans crever de chaleur a aussi son charme. Mais c’est difficile de trouver bien du positif dans un été qui a débuté en août succédant à un juillet froid et sous la pluie qui avait remplacé un mois de juin aussi réjouissant que le juillet déjà décrit.
J’ai bien du mal à ne pas envier les mois de juin de mon enfance où on on suait durant les examens tant les classes étaient surchargée de chaleur. Je me rappelle aussi les mois de Marie en petites blouses et gilets seulement autour du reposoir.
Les temps changent, changements climatiques qui ne vont pas dans le sens des améliorations. On gèle au sud et on sue au nord dit la chanson. Autour de moi, les gens se fiant à la Météo, disent que ce n’est pas pire qu’avant. Moi je ne suis pas de cet avis il me semble qu’il y a une véritable détérioration. Avait-on des tornades au Canada ? Je ne m’en rappelle pas avant celle qui a balayé l’Ontario ces derniers jours. mais je peux me tromper.
Oui et les remèdes commandent des mesures radicales pour sauver la planète, possiblement le respect des ententes déjà signées. Il ne semble pas vraiment que l’on s’achemine vers l’accomplissement de telles mesures. Alors je crois que je serai encore déçue l’été prochain quand nous n’aurons pas d’été.
J’ai tort de me demander pourquoi des fois, même en été, je suis un peu déprimée même si je suis active, que je prends l’air, il doit être trop froid.